Zineb El Rhazoui : «le voile est une technique de marquage visuel non pas de celles qui le portent, mais de celles qui ne le portent pas. »
Avertissement : Ceci est un document de travail d’une traduction pour anglophones, il devait figurer à l’origine sous le texte traduit en anglais mais pour des raisons de mise en page et de présentation il était plus lisible de séparer les deux versions. Il s’agit d’extraits d’articles et/ou entrevues, afin d’introduire les idées des autrices au grand public, mais en aucun cas d’un compte rendu exhaustif de leurs pensées… Afin de mieux les connaître n’hésitez pas à acheter leurs livres ! Merci pour votre compréhension.
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Née au Maroc, réfugiée en Europe puis devenue française, Zineb El Rhazoui est professeure d’Arabe, sociologue des religions et journaliste. Elle est l’une des survivantes du massacre de Charlie Hebdo du 7 Janvier 2015. Militante féministe et laïque, elle est persécutée par les islamistes et la femme la plus protégée de France, sous protection policière 24H/24.
Voile :
« Quand on est petite fille au Maroc, on se rend compte très vite qu’on n’a pas les mêmes droits que les hommes. Et c’était hors de question d’accepter cela. Pourquoi je devrais bénéficier de la moitié de l’héritage, alors que je paie tout au même prix? Pourquoi les hommes ont-il le droit d’être polygames? Petite fille, j’ai très vite compris que la religion posait problème, ce qui m’a poussée, plus tard, à entreprendre une quête de recherche, de lecture et de compréhension des textes, à l’issue de laquelle je suis devenue athée. »
« Je suis allée à l’école au Maroc où l’enseignement de la religion était obligatoire, mais les femmes ne portaient pas de voile, enfin pas celui qu’on connaît aujourd’hui. Il est apparu dans les années 80 avec certaines filles des milieux universitaires des grandes villes proches des organisations islamistes naissantes. Quand elles marchaient dans la rue voilées, les mecs les abordaient: « Ah tu sors du hammam ? », car lorsqu’on sortait des bains publics, on se couvrait les cheveux pour ne pas attraper froid. J’ai pu observer de près l’évolution de ce pays qui n’est pas le pire dans son genre, mais le fait est que la radicalisation montait peu à peu. À l’époque, on pouvait porter une jupe et utiliser les transports en commun, aujourd’hui seules les femmes qui possèdent une voiture peuvent s’habiller relativement comme elles le veulent. »
« certaines féministes ont capitulé depuis longtemps dans cette guerre que nous mènent les islamistes. Ainsi, pour ne pas se faire traiter d’islamophobes, elles acceptent la tutelle masculine sur les musulmanes notamment sous la forme du voile. Or ce voile sous toutes ses formes est loin d’être une banale étoffe synonyme de liberté d’expression, de droit de s’habiller comme on veut, de symbole de pudeur, ou de spiritualité. C’est bel et bien un instrument militant sexiste, pour faire avancer le fascisme islamique en domestiquant les femmes. Contraindre une femme à porter un vêtement qu’elle n’a pas choisi est une violence mais plutôt que d’en sanctionner l’auteur, ces féministes proposent de s’en accommoder. Cela revient à se taire face à une femme qui a l’œil au beurre noir par crainte qu’elle se replie sur elle même et renonce à toute vie sociale. »
« Accepter le voile et ses déclinaisons les plus rigoristes au nom de la liberté de s’habiller comme on veut, c’est la négation même du féminisme. Comment peut-on accepter une tenue, édictée par « le ciel », et obligatoire dans plusieurs pays, sinon les contrevenantes sont châtiées corporellement sur la place publique. Qu’est-ce qu’elles diraient, ces féministes pro-voiles, à ces Saoudiennes que les agents de la Moutawa, le « Comité pour la promotion de la vertu et la prévention du vice » chicotent dans la rue ou les centres commerciaux, avec des badines, comme du bétail qui ne marche pas droit, pour une mèche de cheveux qui dépasse? Que leur niqab, c’est juste un bout de tissu porté au nom de la liberté de s’habiller comme on veut ? »
« Les médias occidentaux, dans une insupportable complaisance, ont défendu le burkini comme une « liberté » et une expression culturelle légitime. J’ai 35 ans, et je n’ai jamais vu de burkini au Maroc pendant toute ma jeunesse. Mais ils apparaissent, maintenant que des islamistes ont donné des coups de couteaux à des femmes en bikini. Il y a eu des pages entières de « slut shaming » sur facebook ou des islamistes balançaient des photos de femmes en maillot de bain pour dire : « Regardez ces mécréantes, ces salopes ». Les plages marocaines ne sont pas en train de se remplir de burkinis, elles sont en train de se vider de femmes. Les féministes que le burkini ne dérange pas ne méritent pas de porter le noble combat féministe. Car elles sont complices de ceux qui veulent faire disparaître le corps des femmes. »
« En France, nous voyons comment la notion de liberté individuelle est récupérée pour défendre les porteuses du voile. Le voile est par définition la négation de la liberté des femmes, mais peu importe pour les islamistes : ils n’encensent que la «liberté» d’être islamiste alors qu’il s’agit en réalité d’un consentement. Dans les pays où le voile est un uniforme obligatoire sous peine de châtiments corporels, les mêmes islamistes ne défendent pas la liberté individuelle de s’habiller comme on le veut. L’antiracisme est également détourné par eux et vidé de toute noblesse : ils ne dénonceront jamais les préceptes islamiques qui interdisent les unions interreligieuses comme racistes. Les islamistes qui crient au racisme le vident de sens, car pour eux, il n’est pas une lutte pour l’universalisme, pour gommer les différences entre les êtres humains, mais plutôt un combat pour imposer leur propre différence comme un universel. Les islamistes dénoncent le racisme des autres parce qu’ils veulent avoir le monopole du racisme. »
« Il y a aussi une partie du mouvement féministe, qui admet le voile comme une «liberté» alors qu’il sert de technique de marquage visuel non pas de celles qui le portent, comme elles le prétendent en France, mais de celles qui ne le portent pas dans les pays où il est obligatoire légalement ou socialement. Ne pas porter le voile dans un contexte où il prolifère, c’est être immédiatement identifiée comme non-adhérente à l’idéologie islamiste. Ces féministes ont admis une autre imposture intellectuelle : le féminisme islamique. Depuis quand l’islam a-t-il des choses à nous apprendre sur la libération des femmes? »
«Je peux concevoir que celles qui portent aujourd’hui le voile, intégral ou non, n’ont pas été forcées manu militari à le faire. Si cela avait été le cas, il y aurait des plaintes, car en France, des lois permettent de se défendre. En revanche, de là à dire que c’est un choix libre, il y a quand même tout un monde… La féministe algérienne Wassyla Tamzali a vu, au cours de la décennie noire en Algérie, des centaines de milliers de femmes faire ce « choix libre » d’un seul coup. C’est quand même curieux. Wassyla Tamzali explique ainsi que le voile n’est pas un choix, mais un consentement. Peut-on réellement parler de « choix libre » lorsqu’on sait que dans plusieurs pays dans le monde, si vous ne portez pas le voile, vous êtes fouettée sur la place publique ? Pour moi, il deviendra un habit comme les autres le jour où les Saoudiennes pourront porter le voile le lundi, un jean le mardi et se mettre en bikini le mercredi. Ce jour-là, je dirai « OK ». Mais tant qu’il y a des endroits où les femmes sont couvertes de la tête au pied et qu’elles sont fouettées par la police religieuse si elles ne le font pas, qu’on ne vienne pas me parler de choix.
Celles qui parlent de choix en France sont en réalité soit des femmes qui ont consenti à porter le voile, soit des militantes de l’idéologie islamique qui empruntent les outils dialectiques des droits de l’homme et des libertés individuelles pour justement imposer la négation des droits de l’homme et de la liberté. Cet habit est un uniforme en Arabie saoudite et dans d’autres pays. En tant que féministe, je ne peux que farouchement être opposée au voile, intégral ou foulard simple, car sa fonction reste la même : couvrir la femme, l’enlaidir pour diminuer les érections inopinées. C’est une insulte à la fois pour la femme, perçue comme un objet sexuel à recouvrir, et l’homme, vu comme un primate en rut qui ne peut pas s’empêcher de violer dès qu’il voit une touffe de cheveux. Mais attention, cette aversion pour le voile ne veut pas dire que je dénie la dignité humaine à toutes les femmes qui le portent. Parce que derrière le voile, il y a un être humain, qui a des droits. Mais ces femmes ont des droits en tant qu’individus et citoyennes, et non pas en tant que ninjas couverts de la tête au pied. Je fais référence au discours du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), qui a recours à une ruse sémantique en parlant systématiquement de « femmes musulmanes », alors qu’en réalité, si elles ont été rejetées, c’est à cause de l’idéologie qu’elles représentent et non pas parce qu’elles sont nées dans une culture musulmane. »
sur l’islamophobie et l’antiracisme :
« Il n’y a pas plus de gens qui représentent réellement les athées musulmans que de gens qui représentent les musulmans croyants en France. Je pense à tous ces représentants communautaires autoproclamés qui ne représentent qu’eux-mêmes et qui n’aurait jamais dû être des interlocuteurs de la République. Pour en revenir aux athées musulmans, ils existent, ils sont nombreux, et je leur dédie mes livres parce qu’en France, on est en train d’adouber l’idée que les musulmans seraient une race. Quand on critique l’idéologie islamique, on est forcément raciste. Eh bien non ! Le fait est que les sociétés musulmanes sont aussi diverses que toutes les sociétés dans le monde et elles ont aussi énormément de libres-penseurs et d’athées qui sont hélas réprimés. Ces personnes font preuve de beaucoup de courage. Mais ils ne sont pas aussi minoritaires qu’on pourrait le penser. On a tendance à oublier que la première impulsion du Printemps arabe a été faite par une jeunesse libertaire qui voulait une société laïque. Évidemment, on sait comment les islamistes ont récupéré le mouvement. C’est ce qui se passe aujourd’hui en Europe. Les islamistes volent des luttes auxquelles ils n’ont jamais contribué, ils volent des concepts qui ne sont pas les leurs, voire qu’ils ont combattus. Aujourd’hui, ces islamistes se prévalent de démocratie, d’antiracisme, alors qu’on sait bien qu’ils sont très éloignés de la démocratie et qu’ils sont les tenants d’une idéologie extrêmement raciste »
« l’islamophobie n’existe pas en terre d’islam. Parce que là où l’islam a la force de coercition, il n’a pas besoin d’un concept comme ça. Il y a le délit de blasphème, d’apostasie, d’atteinte à la religion… Ceux qui tiennent des propos qualifiés d’ « islamophobes » en Europe, dans le monde musulman, ils seraient mis en prison, fouettés, agressés ou assassinés. Le dernier assassinat date de moins d’un mois, avec l’écrivain jordanien Nahed Hattar qui a été tué alors qu’il se rendait à son procès pour « insulte » à l’islam. Là-bas, les islamistes disposent de moyens légaux pour faire taire tous ceux qui critiquent leur idéologie. En Europe, ils n’ont pas ces moyens-là et ils ne peuvent pas nous mettre en prison. Ils peuvent soit nous assassiner, comme ce qu’ils ont fait avec la rédaction de Charlie Hebdo. Ou alors s’ils ne veulent pas emprunter la voie terroriste, le seul moyen qui leur reste est de recourir à cette ruse sémantique qu’est l’islamophobie. Critiquer leur idéologie, c’est être raciste, puisqu’elle serait inhérente à leur race… »
« Islamistes comme extrême droite ont les mêmes outils sémantiques. L’extrême droite refuse de voir les musulmans comme des individus et des citoyens comme les autres, mais les considère comme une communauté qui doit être régie par des lois à part. Les islamistes eux aussi refusent que le musulman soit un individu intégré dans sa société ou qu’il soit soumis aux mêmes devoirs que l’ensemble de la société. Ils insistent pour que les musulmans soient une communauté avec des passe-droits, qui grignote le socle commun de la laïcité pour se créer ses propres lois, tout cela en prétextant de la différence culturelle. »
« Dans « islamophobie » il y a «phobie », qui veut dire dire «peur irrationnelle ». J’avoue, oui, j’ai peur que l’islam régisse la Cité par une application totale ou partielle de la charia. Mais ne nous y trompons pas : l’islamophobie est une escroquerie intellectuelle en direction de l’Occident et qui se veut un frère jumeau de la notion d’antisémitisme. En Europe, l’antisémitisme est quelque chose de concret qui a existé dans l’histoire et s’est traduit par des lois. Or, l’islamophobie est uniquement un outil intellectuel qui consiste à faire taire ceux que l’on ne peut pas faire taire par des moyens coercitifs en les accusant de racisme. Pourquoi précisément ? Parce que le racisme en France, par exemple, n’est pas une opinion mais un délit. Résultat, aujourd’hui la notion d’islamophobie, cette imposture intellectuelle en forme de piège dans lequel sont tombés des gens de gauche ou bien-pensants, est entrée dans le Larousse avec cette définition: « Hostilité envers l’islam, les musulmans. » C’est tragique. »
« Ce mot d’islamophobie trouve son origine dans la révolution islamique iranienne et servait alors à qualifier les contre-révolutionnaires. Et ce mot est aujourd’hui adoubé en Occident. Cette notion a également été adoptée par le Conseil de l’Europe, d’où un un vrai problème : on ne fait plus la distinction entre ce que sont les personnes intrinsèquement et la critique des idées. Si l’hostilité envers l’islam était la même chose que l’hostilité envers les musulmans, alors la critique de l’islam serait interdite de facto puisque jugée raciste. Ceux qui promeuvent la notion d’islamophobie avec le soutien des idiots utiles de l’antiracisme fournissent des armes aux islamistes et véhiculent un discours finalement raciste ou, en tout cas, une sorte de paternalisme envers une communauté qu’on appelle « les musulmans » – mot qui a remplacé « arabes » d’ailleurs. Affirmer que cette religion là serait exempte de toutes critiques et que, attention: « C’est une religion de paix et d’amour et qu’il ne faut surtout pas y toucher », ça veut dire que les arabes sont congénitalement condamnés à être régis par leurs coutumes. N’est-ce pas cela le racisme ? »
« Je connais des gens qui développent une critique très rationnelle de l’islam, mais qui ne le critiqueront jamais de peur d’être taxés de racistes. Cela aussi, c’est un racisme à l’envers. Je ne permets à personne de faire un argumentum ad hominem. Lorsque je dis quelque chose, que mon idée soit intelligente ou pas, j’exige que la personne réponde à mon idée et non pas à mes origines. »
« On ne peut quasiment plus évoquer la religion musulmane en France sans la faire précéder par la précaution d’usage: «l’islam est une religion de paix et d’amour». Cela en soit indique qu’il y a bel et bien un problème. Lorsque la parole est confisquée, cela signifie que nous sommes face à un totalitarisme. Je ne vois absolument pas pour quelle raison l’islam serait la seule religion de paix et d’amour dans le monde. Revenons à la raison : l’islam est une religion écrite par des bédouins d’Arabie il y a 15 siècles, et elle est fortement empreinte de leur contexte. Prétendre qu’elle pourrait régir notre société et nos mœurs en 2016 est une hérésie. Il est essentiel de revenir aux sources écrites de la religion pour comprendre à quel point elles sont – à l’instar des écrits des autres religions monothéistes – un condensé de mythes et de barbarie. Le problème spécifique de l’islam, ce n’est pas tant l’archaïsme de ses textes, mais le mensonge collectif qui consiste à dire qu’ils seraient des textes qui prônent la paix et l’amour. En réalité, il y a bien plus de paix, d’amour et de justice dans la constitution française que dans le Coran. Tant que nous ne disons pas aux islamistes que nous ne sommes pas dupes du message de leur religion, ils continueront à vouloir l’ériger en universel. »
« Le différencialisme culturel prôné par certains antiracistes est l’antithèse de l’antiracisme. Accepter une idéologie totalitaire qui réprime les femmes, les homosexuels et l’altérité de façon générale, comme étant l’expression légitime d’une différence culturelle, c’est dénier à certaines cultures les droits que l’on admet pour soi. Les droits humains, l’égalité homme femme, ne sont pas l’apanage des blancs, ils sont faits pour tout le monde. Malheureusement, les antiracistes différencialistes ont laissé les islamistes avoir le monopole de la définition de toute une culture. La forme de racisme la plus dangereuse aujourd’hui, ce n’est pas quelqu’un qui monterait sur un toit et crierait: «les bougnoules dehors!», car celui qui le ferait tomberait sous le coup des lois antiracistes. La forme de racisme la plus pernicieuse, c’est celle qui consiste à considérer les «musulmans» comme une race/culture/religion condamnée à être régie par sa coutume. Encenser les lumières quand il s’agit de culture occidentale et la dénier à l’Islam (avec un grand I), c’est ça le racisme. »
« Pour moi, les antiracistes différentialistes ne sont pas les seuls collaborationnistes du fascisme islamique. Il y a aussi une partie de l’extrême gauche qui passe tout aux islamistes parce qu’elle est suffisamment condescendante (et manque surtout d’intelligence politique) pour considérer les «musulmans» comme un nouveau prolétariat. Il suffit de voir le sort réservé aux communistes par les régimes islamistes pour battre en brèche ce postulat. Il suffit aussi de rappeler que l’idéologie islamiste est financée par les plus riches de ce monde: l’Arabie saoudite et le Qatar, pour se rendre compte de la bêtise politique de cette extrême-gauche. »
« J’ai vécu au Maroc toute ma vie, je suis née à Casablanca, j’ai eu mon Bac à Casa, je parle arabe, j’ai étudié les maths, la philo, la physique… En arabe, j’ai étudié la sociologie des religions, participé au Printemps arabe en 2011, on a appelé à la liberté là-bas. J’ai été arrêtée à plusieurs reprises au Maroc, j’y ai exercé le métier de journaliste, j’ai enseigné l’arabe à l’Université française d’Egypte, au Caire, etc. Je n’ai pas de problème identitaire. Je ne suis pas quelqu’un qui a grandi ici, en France, avec une espèce d’identité à laquelle on m’assigne, mais qui est une identité perdue pour moi à laquelle je n’ai pas accès. Pour ces jeunes, qui sont nés ici, dans l’échelle de l’avancement civilisationnel, les gens comme moi sont des « blédards ». On est inférieur à eux, on parle la langue de leur grand-mère, en fait on est leur identité perdue. Tous ceux qui ont eu une crise identitaire comme les Kouachi ou Abdelhamid Abaaoud, qui ont du mal à prononcer les voyelles en arabe et qui vont se mettre un accoutrement saoudien en pensant se rapprocher de leur identité berbère ou maghrébine. Moi, je suis leur identité perdue. C’est vain de me dire islamophobe. »
EXTRAITS DE :
- Témoignages. Ces Marocain(e)s qui disent non https://telquel.ma/2012/07/23/temoignages-ces-marocaines-qui-disent-non_530_3524
- Zineb El Rhazoui, Charlie à dos https://www.liberation.fr/ecrans/2015/05/31/charlie-a-dos_1320256
- Zineb El Rhazoui : Contre le voile de l’hyper—patriarcat islamiste http://altermd.blogspot.com/2017/09/zineb-el-rhazoui-contre-le-voile-de.html
- «Aucun texte du Coran n’interdit de caricaturer le Prophète» http://www.slateafrique.com/95137/religion-le-coran-n-interdit-pas-de-caricaturer-le-prophete-mahomet
- Zineb El Rhazoui: « Il faut sortir du mythe de l’islam comme religion de paix et d’amour » https://www.rtbf.be/info/monde/detail_zineb-el-rhazoui-il-faut-sortir-du-mythe-de-l-islam-comme-religion-de-paix-et-d-amour?id=9499604
- Zineb El Rhazoui, en lutte contre cette « bien-pensance » qui voudrait excuser les terroristes https://www.marianne.net/societe/zineb-el-rhazoui-en-lutte-contre-cette-bien-pensance-qui-voudrait-excuser-les-terroristes
- Zineb El Rhazoui : la femme la plus protégée de France https://www.marieclaire.fr/,zineb-el-rhazoui-la-femme-la-plus-protegee-de-france,807486.asp
- Zineb : « Nous sommes tous menacés par le fascisme islamique » https://www.lepoint.fr/societe/zineb-nous-sommes-tous-menaces-par-le-fascisme-islamique-20-10-2016-2077332_23.php
- Zineb El Rhazoui : pourquoi l’islamisme est un totalitarisme https://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/11/11/31003-20161111ARTFIG00225-zineb-el-rhazoui-pourquoi-l-islamisme-est-un-totalitarisme.php
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